Une grande partie de nos connaissances sont acquises à travers nos lectures en ligne ou dans les médias.
Pensez-y, une large partie de ce que vous savez provient de vos lectures et des bulletins de nouvelles, accessibles en ligne ou en format papier. Nous nous laissons souvent guider par les médias dans le choix de notre voiture, de nos vacances ou de notre dentifrice.
Ce constat explique sans doute l’effet si néfaste des fausses nouvelles (fake news); plus les gens les lisent, plus l’algorithme leur propose des nouvelles semblables toujours plus inexactes les unes que les autres.
L’opinion se forgeant généralement entre nos lectures et le bouche-à-oreille, les relations publiques jouent donc un rôle qui me passionne : influencer les influenceurs et les journalistes afin qu’ils choisissent de parler de nos clients.
Les médias et le Web représentent des sources d’informations où s’abreuve la population. On comprend mieux les dommages causés par l’interdiction de certains dirigeants de grandes nations d’accéder à des médias ou à des plateformes de médias sociaux occidentaux qui jouissent de la liberté d’expression.
Sans les médias et la diffusion d’informations sur Internet, il est pratiquement impossible de prendre part à la société comme nous la connaissons en Occident et de s’informer sur l’économie, la politique et les nouveaux produits de consommation. Vous me direz que vous ne croyez pas tout ce que vous lisez – ce qui est très bien –, mais il n’empêche que l’influence des médias et des médias sociaux est immense.
En comparant l’influence des médias à celle de la publicité, on comprend rapidement que cette dernière ne bénéficie pas de la crédibilité de la presse, et n’en bénéficiera jamais.
La publicité ne vous apportera pas la notoriété. Si vous avez le choix entre acheter une publicité dans un journal ou obtenir une entrevue avec un journaliste, que choisiriez-vous?
L’entrevue évidemment, car quand vous lisez un journal, regardez un bulletin de nouvelles ou une vidéo sur YouTube, où passez-vous le plus de temps? Faites-vous comme moi, à savoir attendre avec impatience le moment où vous pouvez interrompre la publicité pour passer au visionnement choisi? Conclusion, vous regardez peu ou lisez encore moins la publicité qui vous est imposée, même si cette dernière peut représenter 70 % d’une publication (30 % étant du contenu).
J’espère que cette petite pause relations publiques vous a plu et vous inspire.
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